mardi 30 juillet 2013

Parc de Boulogne Edmond de Rotschild



Mardi 30 juillet, nous avons décidé de découvrir un nouveau parc francilien. Nous avons choisi le parc Edmond de Rotschild à Boulogne (Hauts-de-Seine).
Tuesday the 30th of July, we decided to discover a new park in Paris'area. We picked up the park Edmond de Rotschild in Boulogne (Hauts-de-Seine).

Sur 15 hectares, à la lisière de la ville de Boulogne et du Bois de Boulogne (appartenant à Paris), nous y a avons découvert cascades, petites rivières, arbres centenaires et remarquables, flopée de canards et vertes prairies.
On 15 hectares, at the border of the city Boulogne and the Bois de Boulogne (one of the biggest wood sin Paris), we marveled at the waterfalls, small rivers, breath-taking hundred-years-old trees, flocks of ducks and green "pastures".



















Il y a près de l'entrée du parc un espace pour que les petits enfants puissent jouer. Pour les plus grands, vous pouvez amener ballons, corde à sauter et pistolets à eau. Il y a de l'espace! Attention, les crampons sont interdits. Il n'empêche que vous pouvez amener vos enfants et leurs copains pour un après-midi détente et jeux. Si vous optez pour une partie de cache-cache, bon courage pour délimiter l'espace des cachettes. Vous risquez de passer de bonnes heures à retrouver les fugitifs!
Near the entrance, a playground for young children has been set up. For the older ones, you can bring footballs, jump rope and water guns. Space is not an issue! Warning: studs shoes are forbidden. That shouldn't hinder you in having fun with your kids and their friends for an afternoon of games and rest. If you chose a game of hide-and-seek , good luck to determine the allowed area. You could search for hours for the fugitives!

Bonne promenade! 
Have a nice walk! 

Lou Messugo

dimanche 28 juillet 2013

Le château de Champs-sur-Marne



Samedi 27 juillet 2013, soleil et chaleur nous accablaient dans notre appartement. Nous avons décidé d'aller nous promener dans un parc en région parisiennes. Mais lequel??? Il y en a tellement!
Jonathan a ouvert le guide Balado Ile de France (offert par son frère le Noël dernier et peu utilisé depuis) et il est "tombé" sur celui du château de Champs-sur-Marne. En consultant le site des Monuments Nationaux, nous nous sommes aperçus que ce château venait de réouvrir le 29 juin après six ans de travaux de restauration!


Après s'être garés sur le parking municipal juste en face de l'entrée du château, nous avons pu admirer le magnifique portail d'entrée.




Une brochure de présentation plus tard, je me suis rendu compte que le parc faisait 28 hectares! De quoi faire une LONGUE ballade. Comme nous étions avec les enfants, nous n'avons pas visité l'intérieur du château. Dommage, il semble que la restauration effectuée soit particulièrement réussie. (sniff...)

Château côté cour. L'accès au parc se fait par les portails à droite ou à gauche du château. La luminosité était forte, Gabriel ne pouvait pas me regarder sans se protéger le visage.

Décoration du mur de l'un des bâtiments annexes du château.
C'est là que se trouve l'un des laboratoires de recherche du Centre des Monuments Nationaux.

Façade côté cour.

Détail de la façade côté jardin.

Le château côté jardin. Je trouve la façade en demi-lune qui abrite les salons ovales (le salon de musique au 1er étage et le grand salon au rez-de-chaussée) tout à fait remarquable. Elle donne un charme féminin à l'architecture du château. La vue du balcon doit être superbe!
Entre 1703 et 1707, l'architecte Jean-Baptiste Bullet de Chamblain a réalisé cette maison de plaisance pour un grand financier. Plusieurs propriétaire se sont succédé jusqu'à ce que l'Etat le reçoive en don en 1935 (le mobilier d'époque lui a même été vendu). Le château a servi de 1939 à 1974 comme lieu de réception des chefs d'Etat étrangers. Il fut ensuite ouvert au public. Après six ans de travaux, il a ré-ouvert fin juin 2013.


Le parc mêle espaces à la française, bois parsemés de statue antiques et aussi de copies d'antiques et grandes prairies. Jugez par vous-même:


Vue du parc depuis la terrasse. Les "broderies" en buis
marquent le début de la "Grande perspective" longue de 865 m.


Un des deux parterres, copie d'une statue antique l'Apollon du Belvédère.


Un des bassins du parc: le bassin de Scylla.

Entrée/sortie secrète cachée dans le parc? Gabriel en était persuadé!

Le Gabou et son papa.

L'Orangerie du château. Tout autour vous apercevez le jardin horticole.
Un peu plus sur la droite se trouve le potager.


La prairie du parc.

Prairie du parc.

Bosquet d'arbres dans la prairie du parc.

Je suis nulle en botanique, je ne sais pas du tout quelle espèce
 d'arbre j'ai photographié. Je les ai juste trouvés fascinants.

Le grand bassin.

Fin de la grande perspective et statue en pierre des Chevaux d'Apollon (9 m de haut).
Quand on se tient debout juste à côté de cet imposant groupe sculpté,
on a l'impression d'être minuscule.

La grande perspective, depuis le grand bassin et vers le château.

Marche dans le sous-bois.


Nous retournerons très certainement nous promener dans ce grand parc au début de l'automne. Les feuilles mordorées des arbres doivent donner au paysage un aspect très différent. Je prévoirai d'ailleurs la visite du château. Puisqu'il a été restauré, il serait dommage de ne pas en profiter à la prochaine visite.

N'hésitez pas à aller découvrir ce fleuron de l'architecture du XVIIIe siècle!

vendredi 26 juillet 2013

Le nouveau film préféré de Gabriel...

... c'est Moi, Môche et Méchant 2! Or Despicable Me 2 in english.

On a adoré ce dessin animé tous les deux, et Gabriel me demande tous les jours de lui passer des extraits ou les chansons du film (merci youtube!).

Entre Banana, I swear (devenu Underwear), YMCA (devenu Moka!) et Happy, la maison est groovy en ce moment. Sophie adore se trémousser sur ces chansons tout en éclatant de rire.



Et voilà le collage que Gabriel et moi avons réalisé ce matin. Il était tout fier.

Les DVD du 1 et du 2 sont, vous pensez bien!, déjà sur la liste pour Noël.

Et vous, avez-vous le film? Quel est votre personnage préféré? Gabriel: les minions/Agnès. Moi: Lucy et Gru.

mardi 23 juillet 2013

Honorer ses parents: un commandement pas si évident que ça...

Je suis à un point de ma vie où je vois à la fois combien être l'enfant de quelqu'un et la mère d'enfants peut être une situation difficile pour respecter le commandement « honorer ses parents ».

Avec mes enfants, il y a bien sûr de grands moments de joie mais aussi des problèmes et des conflits. Particulièrement avec Gabriel. Il peut être si mignon avec une envie d'aider et de faire plaisir, et une seconde plus tard devenir si obstiné, colérique et "violent" qu'il m'est difficile de savoir à chaque fois sur quel pied danser... Il est suivi (et moi aussi un peu pour pouvoir apaiser notre relation) par une psychologue très douce et efficace. Néanmoins, il a un tel besoin d'être "grand tout de suite", que son immaturité au niveau du langage et son caractère têtu l'empêche de pouvoir faire tout ce qu'il souhaiterait. Et puis, il y a les règles de vie de la maison (ne pas claquer les portes, demander avant d'aller sur l'ordinateur pour regarder un dessin animé, etc), celles que l'on doit suivre à l'extérieur (tenir la main quand on traverse, etc) et toutes les autres lois et contraintes de la vie en société. Des choses qu'il a énormément de mal à accepter pour lui... mais qu'il aime rappeler aux autres. Un enfant tout en contradiction en somme.

Gabriel imitant les "super-héros", 19 juillet 2013


J'adore mon fils. Et en même temps je comprends pourquoi il me dit parfois qu'il "ne m'aime plus", que "je ne suis plus sa maman". Il est à un âge où il doit apprendre les limites des actions qu'il peut faire afin de ne pas blesser les autres ou lui-même. Il aime le danger et les choses qui font peur. Même si ça le fait trembler... Et quand je lui déclare que ce qu'il s'apprête à faire est contraire aux "règles", c'est pour lui source d'une grande frustration. J'essaye bien sûr de lui expliquer avant ce que nous allons faire tel "Tu finis de jouer aux échecs, et ensuite tu vas te doucher". Mais cela n'évite pas les "Non!!!". Je suis pour lui celle qui le bloque, le restreint dans ses désirs d'émancipation. Je me demande si je n'ai pas un adolescent avant l'heure...

Il n'a que 4 ans 1/2, mais le quotidien peut sembler parfois un tel obstacle avec lui, que je n’ai pas hâte qu’il en ait 15 ! Il a bien le temps de découvrir le monde, et pourtant il ne souhaite qu’une chose : faire ce qui lui passe par la tête. Il saute d’un sujet à l’autre ou alors reste complètement bloqué sur un thème, une phrase ou une situation que je n’ai pas un petit garçon devant moi, mais tantôt une tornade tantôt une montagne. Et c’est épuisant.

Il est un rappel constant que pour qu’il nous apprécie et nous « honore », nous devons nous mettre à son niveau, écouter ce qu’il veut nous dire, comprendre son mal-être et lui apporter amour et réconfort. Sans jugements hâtifs, sans colère (mon point le plus difficile), et toujours avec douceur.

Lorsqu’un parent piétine le statut d’être humain de son enfant, comment peut-il alors exiger de lui qu’il le respecte ? Les enfants voient notre manière d’agir et reproduisent tout : les bonnes habitudes comme les mauvaises actions. Ils font des expériences et découvrent ainsi ce qui leur plaît, ce qui est bon pour eux ou ce qui est utile. Mais aussi ce qui leur fait mal, ce qui est facile et inutile et enfin ce qui nous blesse, nous leurs parents. Laisser un enfant utiliser cette « connaissance » contre nous, n’est PAS une bonne idée. Car alors il pensera que les relations humaines fonctionnent ainsi : par la manipulation, la peur, l’épuisement, la colère… Bref, que des actions et des émotions qui nient la communication paisible et constructive. Il ne pourra pas développer ses aptitudes cognitives à leur potentiel maximum et se coupera de toute relation interpersonnelle harmonieuse.


J’ai laissé de côté un acte qui peut lui-aussi être destructeur pour la psyché d’un jeune enfant… tout comme pour un adulte. C’est le mensonge. [Je n’aborderai pas cette fois les sujets des violences domestiques et les violences sexuelles, ce sera peut-être pour un autre article… On verra.]

Ne pas tout expliquer à un enfant, c’est assez logique. Il y a des concepts qu’on aborde dans les grandes lignes avec un enfant de 4 ans et pour lequel on expliquera tous les détails à ses 12 ans (tiens, par exemple : « comment on fait les bébés ? »). Mais lui cacher délibérément la vérité, lui mentir sur des sujets essentiels pour sa compréhension de sa famille, ce n’est pas l’aider à avoir un développement harmonieux.

Croire que les enfants ne se rendent pas compte quand on leur ment ou qu’on leur cache des choses est une aberration. Selon leur âge, ils auront des réactions différentes : sensation de malaise, manque de confiance vis-à-vis d’une personne, peur de quelqu’un ou de quelque chose (le sujet tabou…), crises d’angoisse, agressivité, questions fréquentes et intempestives, replis sur soi, mythomanie, etc.

Personnellement, je crois que j’ai eu à peu près tous les symptômes. Pas en même temps ! Mais selon la situation et ma maturité, je crois bien que j’ai un peu tout essayé. La mythomanie est certainement ce qui m’a le plus marqué et fragilisé, même si les mensonges et les non-dits familiaux n’étaient pas la seule cause. Heureusement, ça va mieux maintenant. Au lieu de créer des histoires pour qu’on m’écoute et qu’on me parle « en vérité », j’écris des histoires pour que les lecteurs s’évadent un peu de leur quotidien. Bon… OK, j’avoue que je ne suis pas tout à fait soignée. Hihihi… Mais j’utilise au moins cette sorte de « don » pour inventer des histoires dans un but plus noble que lorsque j’étais petite.

Il y a par contre des personnes qui n’apprennent pas des expériences de leur vie et qui refusent de développer leur potentiel pour les bonnes causes. Le plus triste c’est lorsque cette personne est l’un de vos parents (frère, sœur, enfants… Cochez la case appropriée) et que le mensonge est devenu son quotidien. Si vous avez lu mon billet précédent, vous savez que la relation actuelle entre ma mère et moi a pris un tour pour le moins désagréable. Le week-end dernier, j’ai reçu « the last straw ».

Alors que je revenais de notre voyage au temple près de Francfort, j’ai téléphoné à ma mère pour lui dire que tout s’était bien passé, et patati et patata. Elle m’a répondu assez froidement, que c’était bien et qu’elle ne voulait plus que je la contacte « pendant quelques temps ». Je lui ai demandé ce qui n’allait pas. Elle m’a dit que je me faisais trop d’histoires (pour le coup, je ne m’en fais pas du tout ! Je veux la vérité !). Cela fait quelques mois qu’elle ne me dit plus rien de ce qui se passe dans sa vie, et malgré mes questions, elle changeait de sujet (comment va Sophie ?) ou refusait tout net de répondre. « Ça ne te regarde pas ! »

Et bien si, le bien-être de ma mère me regarde ! Autant les parents sont responsables de l’éducation et de la santé de leurs enfants et de les aimer et les chérir, autant les enfants doivent respect, aide et amour à leurs parents. Et quand l’une des personnes de l’équation agit de manière illégale, ou dans le but de blesser l’autre, il est de notre devoir de lui tendre la main pour qu’il revienne « à la raison ».

Dans le cas où « le fils prodigue » (mais on peut changer pour mère prodigue) revient à la maison, les relations peuvent être réparées et les blessures être pansées. Ce n’est pas évident, cela prendra plus ou moins de temps, mais les efforts en valent la peine. La famille en vaut la peine.

Il y a aussi le cas où la personne qui se perd dans ses ténèbres intérieures refuse répétitivement la main tendue et continue ses agissements. La seule solution qu’elle envisage encore, c’est de continuer à mentir, à ne rien dire de ses problèmes (tiens, il y a comme un air de déjà-vu avec une célèbre affaire politico-financière) car elle s’est persuadée ou on l’a persuadé qu’elle ne s’en sortira pas autrement de toutes façons ! Je me suis plantée ? Plantons-nous en beauté alors, puisqu’il n’y a plus d’espoir ni de vision d’avenir.

J’ai du respect et de l’amour pour ma mère. Elle m’a élevé, avec ma grand-mère, et a dû souvent se priver pour que j’aie une enfance correcte. Mais le poids du mensonge a très longtemps pesé sur mes épaules, même lorsque j’ignorai qu’elles ne me disaient pas toute la vérité ou qu’elles mentaient ouvertement. Et comme je n’avais pas la même personnalité qu’elles, je n’ai pas mis beaucoup de temps à comprendre qu’elles ne me donneraient les réponses à mes interrogations que si j’en avais déjà eu une partie par un autre moyen.

Je connais le potentiel de ma mère, ses talents. Et je vois maintenant combien elle les a gâché, oublié et qu’elle se vide de toute trace de ce qui la définit en tant que ELLE. Finir sa vie dans un quotidien morose, monotone et sous la coupe de la peur, ce n’est pas ce qu’elle avait souhaité.

Si elle refuse mon aide et qu’elle nie l’état déplorable de sa situation, je me dois de garder les idées claires et de continuer à l’aimer. Quand je me suis fait baptiser en juillet 2005, je craignais que mon choix de vivre une vie où la spiritualité aurait une très grande place serait ce qui pourrait nous séparer. J’étais loin de me douter que « honorer ses parents » serait testé de la sorte ! Qu’elle puisse faire des choix de vie aussi mauvais pour elle, et que ce soit la culpabilité et la peur qui l’éloigne de moi, je n’aurais pas pu l’imaginer deux secondes.


Les épreuves qui jalonnent le chemin de notre vie peuvent être surmontées. Penser que les règles et les lois sont là pour nous brider, c’est se laisser entraîner vers des soucis et des problèmes inutiles. « Honorer ses parents » n’est pas un commandement à prendre à la légère car en le respectant, nous affermissons nos liens familiaux, nous développons notre faculté à voir le bien en son prochain et à savoir distinguer ses besoins. Comment peut-on demander à nos enfants, aux jeunes générations, de nous respecter lorsque nous ne respectons pas nous-même nos propres parents et les personnes âgées ?

Voyez combien le tissu intergénérationnel est essentiel et combien il peut être si facilement déchiré. Le mien est fin, les fibres sont brisés par endroit et les raccommodages sont visibles. Mais tant que le cadre n’est pas détruit et que j’ai un fil et une aiguille je ferai mon possible pour le réparer de mon mieux. Moi qui suis nulle en couture, je vais devoir redoubler d’efforts et de patience. Mais comme je l’ai dit plus haut : « La famille en vaut la peine ».

dimanche 14 juillet 2013

Ballade au soleil...

Vendredi 12 juillet, sortie au Vésinet en famille. Nous n'étions jamais allés dans ce coin des Yvelines avec les enfants. Et ce fut un très bel après-midi, au bord d'un canal, à regarder passer les canards et les poules d'eau. La promenade d'Oakwood (c'est ce qui était indiqué sur les panneaux) serpente entre les maisons toutes plus belles les unes que les autres. On se regardait avec Jonathan, on soupirait et on disait: "C'est pas demain la veille qu'on en aura une comme ça!" Les propriétaires sont bien bénis d'habiter dans un lieu si calme, arboré et avec de si majestueuses villas. J'aime bien ma ville de Vitry-sur-Seine, il y a de l'ambiance et des activités... mais le manque d'espace commence à se faire sentir. Je suis un peu nostalgique des ballades dans la campagne sans avoir besoin de prendre la voiture plus de 15 min pour y accéder. 

Une poule d'eau

Jonathan et Gabriel, heureux d'être dehors!

Sophie et son chapeau... A peine elle atteignait l'ombrage des arbres qu'elle l'enlevait!


Après cette escapade champêtre en pleine ville, nous nous sommes arrêtés au cimetière de Chatou où mon grand-père paternel est enterré depuis décembre dernier. J'aurai tant aimé pouvoir discuter avec lui plus longuement de sa vie bien remplie. C'est un de mes regrets...




Ensuite, nous sommes allés faire un petit coucou à ma cousine Céline qui vit tout près de là, à Montesson. Presque six mois sans s'être vues, trop long!!! 

Sophie dans le jardin de la résidence où habite ma cousine.
Elle s'est bien amusée à courir partout, poursuivie par un Gabou surexcité.

Céline, tout sourire. Elle est "professeur d'art plastique": peinture, dessin, poterie, mosaïque, etc. Elle donne ses cours dans un cadre associatif, dans des écoles parfois ou bien dans son petit atelier. J'adore ses créations! 


Vous croyez que la journée de promenade était finie? meuh, non! Pour faire plaisir à Gabriel, nous avons accepté de "dîner" au McDonald. Non pas pour leurs exquises frites (je préfère de loin celles de la brasserie près de mon ancien boulot), mais pour le cadeau glissé dans le happy meal: un personnage du film Moi, Moche et méchant 2. Que nous sommes allés voir tous les deux la semaine dernière. Il était tout content de son jouet, et moi j'ai apprécié la glace tout en écoutant la musique trop bruyante du festival qui se tenait place de la République à Paris. Parce que non, nous n'allions pas terminer cette belle après-midi par un McDo de centre commercial. il fallait Paris! Les enfants étaient vannés en rentrant (il était 22h30) et n'ont pas fait d'histoires pour aller au lit.

Conclusion: Pour bien faire dormir deux mini tornades, mélanger un beau soleil bien chaud, des animaux à observer, de la marche, des personnes à rencontrer, un "bon" repas et des jouets, de la musique et une bonne dose de voiture. Résultat garanti, sans sédatifs ni crises d'hystérie.

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